Flammarion, 497 pages
Au programme aventures dans le grand nord sur une petite île islandaise à la recherche d’indices concernant un drame survenu dix ans plus tôt le décès de deux touristes sur un groupe de 12 perdus dans une tempête. Et encore, représentations costumées des principaux événements de la révolution française pour autant qu’elles eurent Robespierre pour acteur principal. Et aussi variations sur l’enfance maltraitée.
Les touristes témoins du drame islandais participent aux représentations costumées de la Révolution comme acteurs ou comme spectateurs ; et ils commencent à trépasser l’un après l’autre : Alice Gauthier noyée dans son bain, Henri Masfauré suicidé d’un coup de pistolet, j’en passe et des meilleures.
Adamsberg va interroger les proches de Masfauré, dont l’un Victor était présent sur l’île, et l’autre Amédée a reçu une lettre d’Alice Gauthier avant qu’elle meure ; puis le président de l’association des amis de Robespierre qui organise les représentations théâtrales. Quel est le lien entre les deux ?
Il faudra bien qu’Adamsberg aille en Islande sur cette île perdue, bien que son équipe presque au complet s’y oppose ! Car ça le démange (ou plutôt ça le gratte comme dirait son voisin Lucio…) un Adamsberg de plus en plus hermétique (même son ami Danglard et sa protectrice Retancourt ne déchiffrent plus ses propos ésotériques) qui a rendez-vous avec l’Afturganga, mystérieux esprit islandais qui rôde sur l’île.