Flammarion, 2018.
Le Mont-Orcières dans le Lot, ancienne province du Quercy, près d’un village nommé Limogne ( qui existe).Une maison tout là –haut, pleine nature assez sauvage.
Un chien croisé avec un loup, sorti de nulle part. Qui cherche un maître.
Deux récits en alternance, l’un se situe de nos jours, et met en scène un couple venu passer trois semaines au mois d’août. Frank et Lise sont presque retraités du monde du cinéma. Ils n’ont pas l’expérience de « la nature sauvage » et Frank n’aime pas ce type de vacances. Toutefois le chien sans maître lui plaît bien ; ensemble ils partent à l’aventure, trouvent une cage à fauves, devenue piège pour les braconniers, dans une combe (une « igue »).
L’autre récit : Le village d’Orcières (disparu), en 1915, la Grande Guerre. Une jeune veuve Joséphine, un dompteur de cirque Wolfgang, allemand francisé, déserteur, dissimulé sur la colline avec ses lions et tigres, qu’il doit empêcher de s’attaquer à un troupeau de moutons non loin de là…
Des répétitions fastidieuses et de belles descriptions tout de même. Serge Joncour a du souffle.
Franchement, à la place de Frank, je n’aurais pas supporté ce chien qui le suit partout, quand il ne le précède pas.
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