L’arme du crime est un boîtier métallique électrocuteur
travesti en une innocente torche électrique.
C’est tout ce qu’il y a de neuf dans ce polar qui exploite les filières en vogue du crime en série et de la pédophilie. Les suspects ne sont pas attachants on n’a même pas
envie de savoir qui a fait le coup.
On est content de savoir que Barbara va enfin nouer une relation privilégiée avec son voisin Pakistanais. On a moins envie de suivre Nkata dans ses tentatives d’approche d’une ancienne détenue.
Le mauvais garçon repenti, c’est fou ce que ça me gonfle !
L’auteur envoie la femme de Lynley et sa progéniture ad patres à l’aide d’un hasard incroyable sans cause reliant à l’enquête. Le désir de l’auteur de débarrasser Lynley de
cette épouse frivole n’apparaît que trop clairement.
On sentait bien dans l’ouvrage précédent qu’elle n’allait pas permettre à Lynley d’avoir une progéniture, mais de là à le priver aussi de son épouse et de son travail… !!!