28 novembre 2006
2
28
/11
/novembre
/2006
12:03
Titre français : la Maison biscornue.
Ça fait maintenant trente ans que la doyenne du crime anglais a rendu son âme vénéneuse ; Les teniggers et Roger Acrroc mis à part,
on peut encore lire au moins trois Agaga sans s’ennuyer ni devenir Gaga ; voici le premier :
Fils d’un enquêteur haut placé à Scotland Yard, Charles est amoureux de Sophia Leonides, belle fille bien bronzée, originaire de Smyrne et lui chante
souvent « sweet dark grape fruit ,I love your fruit ». Mais pour gagner le cœur de Sophia, il faut aller la demander au grand père Aristide Léonides vieux grec ancien
escroc ( crook) aventurier à la retraite et tyran domestique.
A peine les amoureux sont-ils rendus aux « Trois Pigeons » vieille bâtisse victorienne à l’architecture mal branlée (crooked) que Charles a
déjà envie de tuer toute sa future belle famille : Roger le fils aîné et Clémency son épouse sont d’une austérité suspecte. Philip le cadet se dit chercheur scientifique ( personne ne
le croit) , Magda sa femme, actrice sur le retour se prend tour à tour pour Ophélie Macbeth et Louise Brooks débitant tirade sur tirade. On la soupçonne d’être un
peu dérangée ( crooked). Et voila aussi les frère et sœur de Sophia, Eustace, adolescent ironique à l’esprit tordu ( crooked), et Joséphine, dix ans c’est une
vraie terreur, vous allez aimer ses répliques. La tante Edith sœur du vieux s’occupe des enfants avec un étrange ( crooked) dévouement. Aristide Léo, comme beaucoup de vieux
friqués a épousé une jeune épouse Brenda, héritière présumée que les autres détestent.
Le vieux Léo meurt d’une injection d’insuline faite par son infirmière chérie.
Si vous votre esprit se plait en cheminements tortueux ( crooked) vous allez deviner qui est l’assassin mais pas nécessairement comment il a
procédé. Le dénouement vous donnera de la satisfaction.